Marée basse – who by fire (bis)

 

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Et puis il y a les petits jeunes qui se ruent sur les routes bretonnes, s’envoient en l’air, s’éclatent à en mourir. Beuveries, sorties de beuveries. Les caves incendiées, les voitures incendiées. Les bois incendiés. Les maisons que l’on allume dans son sommeil, la cigarette au bout des doigts, à moitié endormi…
Il y a aussi toute la gamme des bitures qui ont mal tourné… sur le tas de fumier… dans le parc à crabes…
On ne parle jamais des falaises, des pieds qui se laissent glisser sur la bruyère, des courants porteurs qui vous emmènent d’une traite dans l’au-delà, du large qu’on prend, puisqu’on sait si bien nager, sans se laisser la moindre chance de retour. Le large, tu sais? Le large…

 

 

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