Marée basse – dunes

 

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Ça pourrait être la dune de Cleut Rouz. Ça pourrait être la plage de Kerdallé. C’est n’importe où. Et je m’y retrouve. On est de là, de cette approche littorale. On arpente les bords de mer. On ne s’en détache pas. On en a le goût du sel sur les lèvres. Le vent dans les cheveux . Les embruns qui s’y déposent comme une laque. Le frémissement des plantes grasses qui rampent sur les dunes. La solitude y est plus belle qu’ailleurs. Magnifiée, célébrée. Et la musique qui l’accompagne, c’est celle du fracas des vagues sur les rochers des tempêtes maritimes. Le temps se compte ici en marées d’équinoxes et le printemps en Bretagne est toujours plus doux qu’aux environs de Paris…

 

 

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