Je n’ai vécu vraiment qu’au pilori des choses
Un réveil par exemple peuplé d’émois face aux paupières pleines de rêves
La pulpe des songes réfugiée dans les rêves qui vous frôlent et s’en vont
Et quand la silhouette après tourne l’angle de la rue
Le premier matin de juillet soudain qui vous écorche
Vous explique ce qu’est vraiment la vie
Olivier Barbarant
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