La chaleur de la pierre…

Sa poitrine était ornée de deux superbes tétons durs comme du marbre, cernés de bleu, surmontés de fraises rose tendre et dont celui de droite était joliment taché d’un grain de beauté placé là comme une mouche, une mouche assassine. Mony Vibesu en la saisissant avait passé les mains sous son gros cul qui semblait un beau melon qui aurait poussé au soleil de minuit,, tant il était blanc et plein. Chacune de ses fesse semblait avoit été taillée dans un bloc de carrare sans défauts, et les cuisses qui descendaient en dessous étaient rondes comme les colonnes d’un temple grec…

G. Apollinaire

That God will torment Man in eternity for following his energies. William Blake

1 réflexion sur « La chaleur de la pierre… »

  1. « La civilisation, au vrai sens du terme, ne consiste pas à multiplier les besoins, mais à les limiter volontairement. »
    Jolie sculpture! 😉

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