Bois, prairies, alpages

 

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Durant la copulation, le mâle offre un curieux cadeau à la femelle : les extrémités charnues de ses ailes postérieures que la femelle mâche tranquillement. Puis, elle ingère le liquide -l’hémolymphe- suintant des blessures qu’elle lui inflige. Pour le mâle, c’est cela ou rien. En plus, une fois l’acte terminé, compte-tenu de son état d’épuisement, ses chances de trouver une autre partenaire sont très minces… Le voici quasiment condamné à l’abstinence. Pas facile la vie de grillon !

 

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Un examen microscopique de ces pénis jetables a mis en évidence une structure en spirale, qui semble pousser pour former un pénis de remplacement, un peu à la manière d’une bobine de fil qu’on déroule. « La structure en spirale aurait besoin d’à peu près un jour pour être prête à la copulation », estime l’étude.

Les chercheurs ont également découvert que le pénis de la Chromodoris était recouvert de petites épines, orientées vers l’arrière comme sur un harpon. Cela rendrait difficile l’extraction du pénis une fois la copulation accomplie, expliquant peut-être pourquoi cet organe est détachable. De nombreux animaux sont capables de se séparer d’une partie de leur corps – la queue chez les lézards, la peau même chez certaines souris – mais bien peu renoncent ainsi à leur pénis, soulignent les scientifiques japonais.

 

 

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C’est la femelle qui assume donc la responsabilité du coït. Son pénis se gonfle et pénètre la cavité du mâle. Une fois à l’intérieur des petites piques fonctionnant comme un hameçon lui permettent de se fixer à son partenaire et de copuler pendant la bagatelle de 70 heures ! Selon l’étude le lien entre les deux «amants» est tellement solide que, lorsque les chercheurs essayent de séparer les deux insectes, l’abdomen du mâle s’arrache de son thorax…
Le pénis de la femelle lui sert non pas à expulser mais à aspirer les spermatozoïdes du mâle. L’inversion des rôles s’explique notamment par l’environnement de cette espèce, qui vit dans des cavernes sèches et sans luminosité., où les sources d’alimentation sont rares. Or pour fabriquer leur future descendance, les femelles ont besoin d’un fort apport nutritionnel. Elles le trouvent dans l’enveloppe des spermatozoïdes des mâles, une grosse capsule nommée «spermatophore» qui contient beaucoup de protéines. Pour ces insectes, l’acte sexuel a donc avant tout un objectif nutritif. (genre Neotrogla)

 

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Comme tous les membres du genre « pseudobiceros », ce ver est hermaphrodite, et son mode de reproduction repose sur un art subtil et délicat : le combat de pénis. Chaque ver pouvant produire à la fois des œufs et du sperme, tout l’enjeu de l’accouplement est de savoir quel individu jouera le rôle du père. Pour ce faire, les deux partenaires se lancent dans une bataille épique à l’aide des deux pénis en forme de pointe qu’ils possèdent chacun sur le ventre. Après multiples esquives et assauts, le vainqueur est celui qui parvient à percer la peau de l’autre afin de l’inséminer. Le « perdant » devra endosser le difficile rôle de mère, qui lui réclamera beaucoup plus de temps et d’énergie. (axolot.info)

 

 

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Les punaises des lits ont du mal à distinguer leurs congénères et elles éprouvent encore plus de difficulté à reconnaître les mâles des femelles. 50 % de leurs rapports sont donc homosexuels, 20 % se produisent avec des animaux étrangers – 30 % enfin s’effectuent avec des femelles.
Les punaises des lits sont équipées d’un long sexe à corne pointue. Au moyen de cet outil semblable à une seringue, les mâles percent les carapaces et injectent leur semence n’importe où, dans la tête, le ventre, les pattes, le dos et même le cœur de leur dame! L’opération n’affecte guère la santé des femelles, mais comment tomber enceinte dans ces conditions?
De l’extérieur, son vagin paraît intact et, pourtant, elle a reçu un coup de pénis dans le dos. Comment les spermatozoïdes mâles vont-ils alors survivre dans le sang? En fait, la plupart seront détruits par le système immunitaire, tels de vulgaires microbes étrangers. Pour multiplier les chances qu’une centaine de gamètes mâles arrivent à destination, la quantité de sperme lâchée est phénoménale! À titre de comparaison, si les mâles punaises étaient dotés d’une taille humaine, ils expédieraient 30 litres de sperme à chaque éjaculation. – Multiplié par 200 par jour, il me semble que ça fait énormément de jus tout ça! Sur cette multitude, un tout petit nombre survivra. Cachés dans les recoins des artères, planqués dans les veines, ils attendront leur heure. La femelle passe l’hiver squattée par ces prédateurs clandestins. Au printemps, guidés par l’instinct, tous les spermatozoïdes de la tête, des pattes et du ventre se rejoignent autour des ovaires, les transpercent et s’y enfoncent

 

 

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Quand il nait, le mâle de l’abeille, nommé faux-bourdon, n’a d’autre raison d’être que de féconder la Reine. Il n’a pas de dard, ne participe pas à la récolte du pollen, et ne secrète pas de miel. Aussi, lorsque vient le moment de jouer son rôle, il est prêt à sacrifier sa vie pour sa mission. L’accouplement se déroule en plein vol, lorsque la reine s’élance dans le ciel à la recherche de partenaires. Les males de la ruche la suivent en essaim, luttant pour avoir une chance de l’inséminer. Mais cette chance est très relative : lorsqu’un faux-bourdon parvient à saisir la Reine pour la pénétrer, l’éjaculation est si forte que son pénis explose, déchirant son abdomen. Le malheureux tombe alors au sol, mourant peu après. Lors d’un tel vol nuptial, la Reine s’accouple avec une douzaine de kamikazes sexuels, et elle récolte suffisamment de sperme pour pondre pendant le reste de sa vie, soit 4 ans.

 

 

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Reproduire les phéromones sexuelles émises par l’insecte femelle pour désorienter le mâle dans sa recherche de partenaire, et empêcher la reproduction. Voilà en substance le fonctionnement de la confusion sexuelle. En période d’accouplement, l’insecte mâle piste la femelle en suivant les phéromones sexuelles qu’elle dégage. Avec la confusion sexuelle, la parcelle de culture est saturée de phéromones. Les diffuseurs, installés sur les plantes, propagent des molécules de synthèse analogue aux substances émises par les insectes. Désœuvré par l’omniprésence des signaux, le mâle ne trouve pas la femelle. La reproduction est empêchée.
La méthode permet ainsi d’endiguer le développement des colonies d’insectes, sans pour autant les tuer ou avoir recours à des insecticides. On l’utilise principalement pour protéger la vigne (100 000 hectares en Europe), le maïs, le coton ou les cultures fruitières comme la pomme.(bioalaune.com)

 

 

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De son côté, le bourdon mâle fait exploser ses parties génitales, une fois le coït terminé, pour ainsi bloquer le vagin de sa partenaire. On peut même entendre le bruit de « l’explosion » à distance…

 

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Chez les libellules (odonatoptères), le mâle est en effet pourvu, outre son orifice génital, d’un organe copulateur situé vers le milieu de son corps, une sorte de petit réservoir. Le mâle doit donc le remplir, recourbant son corps pour y coller son pénis. C’est alors seulement qu’il saisit la femelle entre la tête et le thorax et tous deux volent ainsi de concert. Pour s’accoupler, la femelle doit donc recourber son corps à son tour et venir chercher la semence dans ce réservoir. Quelquefois, leurs contorsions donnent à cet élégant accouplement une forme parfaite de cœur.

Mâle violent, mais au comportement efféminé, femelle hommasse, mais qui n’assume l’inversion des rôles que lorsqu’elle y est contrainte. Sorte d’indifférence pour les organes et les positions « classiques » : intérêt du mâle pour un organe de remplacement, un récepteur ; de la femelle pour un organe actif, une sorte de tuyau de « pompage »… Accouplement en vol dans des positions acrobatiques… Le scénario est complet. Tous deux sont fétichistes parfaits, correspondant à notre définition de départ, le mâle déplaçant sa sexualité du pénis à son ventre, la femelle de la passivité à l’activité. Car, si le mâle se saisit de la femelle avec une certaine violence, le rôle actif est dès lors dévolu à sa partenaire qui doit courber son abdomen en avant, comme nous l’avons vu, pour amener son orifice génital contre la petite vulve du mâle dans laquelle il a déversé sa semence. Tobie Nathan

 

 

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Il semble ainsi que, au cours de l’évolution, lorsque la branche des Galliformes a divergé de celles d’autres familles d’oiseaux, un défaut génétique se soit introduit dans le mécanisme de développement du phallus. Un aussi grave problème aurait pu conduire à l’extinction des Galliformes s’ils n’avaient trouvé une solution pour se reproduire malgré l’absence de pénis.
La solution, c’est ce que les ornithologues appellent, sans grande poésie, le «baiser cloacal». Chez ces oiseaux, le cloaque est un canal clos par le sphincter anal. Mâle et femelle mettent en contact leurs cloaques et les spermatozoïdes passent alors de l’un à l’autre très rapidement, comme l’explique Wikipédia. Certaines espèces parviennent à une durée record de rapport sexuel de moins d’une seconde… Ce qui permet aux martinets de copuler en vol. (slate)

 

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La taupe a un système de reproduction ovipare. Au cours du printemps, des taupes sexuées sortent des galeries afin de s’accoupler à l’air libre. Une fois l’acte sexuel effectué, la femelle taupe (qui est programmée génétiquement pour être une chaudasse) coupe brutalement la tête du mâle ; elle débute alors son voyage vers une pelouse encore vierge, y creusant un trou dans lequel elle mettra au monde des milliers de taupes. Tout au long de sa vie, la reine-taupe va nicher au fond de la galerie, pondant un œuf toutes les 10 minutes environ. De ces œufs naîtront d’adorables taupinous (des bébés-taupes quoi), qui seront nourries avec de la gelée royale, un mélange de sang et de cirage pour chaussures. Tous les ans, la reine-taupe produit des individus sexués, qu’elle entraîne pendant une semaine à assurer au lit : une formation bien inutile, la plupart des taupes sexuées se reproduisant dans l’herbe.(désencyclopédie)

 

 

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Les escargots ont pris Cupidon au pied de la lettre. Une étude relayée par National Geographic montre que certains spécimens, au moment de la reproduction, envoient des « flèches » à leur partenaire, provoquant une baisse de la fertilité et de l’espérance de vie de leur victime.
Une équipe de scientifiques, menée par Kazuki Kimura, biologiste à l’université de Tohoku au Japon, a observé des scènes de copulation chez plusieurs espèces. Ils estiment que les « flèches » acérées sont dangereuses pour la santé de l’escargot et tente d’expliquer pourquoi ils paient le prix fort de leur procréation.
Les escargots touchés par les « flèches » pondraient moins d’œuf que leurs congénères épargnés et ne vivraient que 60 jours, soit 2/3 de la moyenne. Si ils ont recourt à des mesures si contre-productives, c’est pour éviter que le partenaire inséminé ne tente de se reproduire par ailleurs.
La sexualité des escargots regorge de surprises. Plusieurs espèces d’escargots hermaphrodites lancent ainsi ces « flèches » dans le corps de leur partenaire au moment de la copulation, « flèches » qui provoque des secrétions de sperme. Faites de calcium, elles sont essentielles dans la vie sexuelle dissolue de certains escargots qui multiplient les partenaires pour se reproduire. (HuffPost)

 

 

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Le genre Aplysia, dont les espèces sont souvent appelées aplysie, et de manière plus générale lièvre de mer ou encore lièvre marin, se compose de mollusques gastéropodes à corps nu, répandus dans toutes les mers du globe.
L’animal est hermaphrodite ; lors des accouplements croisés de 2 individus, chacun d’eux emploie successivement l’un ou l’autre de ses sexes. Quand d’autres aplysies voient un accouplement, elles s’y joignent, ce qui conduit à des accouplements collectifs pouvant rassembler un grand nombre d’individus. Dans ce cas, les animaux peuvent mobiliser en même temps leurs organes mâles et femelles.(wikipedia)

 

 

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Le lapin :

Pour la copulation, il faut toujours amener la femelle dans la cage du mâle et non l’inverse. Si l’on amène le lapin chez la femelle, il va tourner en rond, en perte de ses repères olfactifs.

Très rapidement, le mâle tourne autour de la femelle. Il lui saute dessus en la tenant par la nuque. La copulation proprement dite est très rapide: 2 à 3 secondes.

Tout de suite après, le mâle se laisse tomber sur le côté et pousse un petit cri.

Si la femelle n’est pas réceptive, il vaut mieux ne pas prolonger la rencontre au-delà d’un ¼ d’heure. Retirez la femelle de la cage du mâle et réessayer quelques jours plus tard.

Si la rencontre a réussi, l’ovulation se produit 9 à 13 heures plus tard.

 

 

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souris :

Au vu des résultats obtenus, une des motivations principales des femelles semble être d’éviter l’infanticide : si les mâles sexuellement expérimentés, qui ont une bonne chance de se reproduire avec une femelle, sont peu susceptibles de tuer les petits de cette dernière, les mâles vierges, en revanche, le font fréquemment. De ce fait, une femelle mise en présence de mâles vierges aura tendance à multiplier les accouplements, copulant avec plusieurs partenaires – un moyen de ‘neutraliser’ l’agressivité de ceux-ci envers les nourrissons ? Confrontée à des mâles expérimentés (donc peu enclins à l’infanticide), la femelle se contentera alors souvent d’un seul partenaire. La façon dont elle évalue l’expérience d’un mâle (en termes de sexualité) est encore inconnue, mais le marquage odorant de ce dernier joue sans doute un rôle important. Les scientifiques ont en effet découvert que les femelles étaient plus susceptibles de s’accoupler avec plusieurs mâles quand ces derniers produisaient des niveaux très similaires de marques olfactives. (Gentside Découverte)

 

 

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Les canards sont connus pour leur pénis bizarre, s’étendant jusqu’à 20 cm de taille, dans une spirale anti-horaire. C’est un organe impressionnant pour un oiseau qui fait en moyenne, seulement 60 cm de long. Il faut savoir que les canards pratiquent une copulation forcée, les femelles ne se laissent pas faire. Leur vagin a évolué en spirale dans le sens horaire et contient des virages serrés, dont les scientifiques pensent qu’ils sont utilisés pour empêcher l’insémination par des prétendants indésirables.

 

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En revanche, les lézards à queue en fouet sont un cas très particulier. Les mâles ont été évincés et ont disparu, ne restent que des femelles qui font des bébés toutes seules, par parthénogenèse. Pratique mais risqué, car en cas de changement environnemental, aussi bien climatique que viral, le manque de diversité génétique peut exterminer tous ces clones. Seulement, ces femelles ont malgré tout besoin d’être stimulées pour ovuler. Un vestige de l’évolution. Alors, elles s’apparient et mènent un simulacre de rapport sexuel. Entre filles. (Paul Asman and Jill Lenoble, Wikipédia)

 

 

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Mais une autre caractéristique a assuré la célébrité de la « mouche espagnole », c’est la propriété aphrodisiaque de la cantharidine. Depuis l’Antiquité, une poudre faite avec l’insecte est reconnue comme étant un stimulateur de l’érection. Cette réputation est surfaite mais surtout dangereuse. L’absorption de poudre de cantharide provoque une inflammation des voies urinaires. L’érection, pathologique, en est une conséquence parmi d’autres : émissions d’urines sanglantes, vomissements, douleurs abdominales. La surdose peut être mortelle . D’après le spécialiste Yves Cambefort, « Son action principale est d’irriter l’urètre, ce qui peut en effet provoquer une forte érection et un gonflement du gland, par une excitation réflexe dont le point de départ se trouve dans les muqueuses urinaires enflammées. ». On retrouvait notamment de petites quantités de cette poudre dans les « dragées d’Hercule ».

Le marquis de Sade utilisait à l’occasion des bonbons d’anis enrobés de poudre de cantharide qu’il offrait à ses partenaires. Il fut embastillé pour empoisonnement pour avoir offert des bonbons à la cantharide à quatre femmes lors d’une soirée, les effets n’étant pas ceux espérés. Le président Félix Faure, décédé à l’Élysée durant un rapport sexuel avec sa maîtresse en aurait été consommateur (ce qui expliquerait son décès).(Wikipedia)

 

 

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Lors de la parade amoureuse, les hérissons se font face puis se font à nez-nez (toucher naso-nasal) puis se donnent des coups de museau, des coups de pattes. Tout cela dans un bruit assez important que vous pouvez entendre. Soubresauts suivent le halètement puis les hérissons entament une sorte de dance. Le mâle décrit alors des arcs de cercle d’un mètre de diamètre autour de la femelle. La parade peut durer plusieurs heures. Puis arrivera l’accouplement dorso-ventral.

 

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Le problème c’est que le lapin a une fâcheuse tendance à grimper sur la tête de ses congénères, ce qui, si c’est un mâle, peut lui valoir une castration maison à coups de dents. Soyez donc vigilants et séparez vos lapins tant qu’ils ne sont pas stérilisés.

Plus un lapin est stimulé plus il s’excite, un lapin célibataire est souvent plus calme qu’un lapin qui vit avec des congénères sauf s’il jette son dévolu sur vos mollets, ce qui est assez fréquent ! Certains lapins mâles célibataires n’ont absolument aucune libido, ne marquent pas leur territoire et sont très calmes. En revanche les lapines célibataires ont tendance à développer malgré tout un comportement sexuel important.
Si vous n’avez qu’un mâle et qu’il reste calme, rien ne vous oblige à le castrer, mais évitez de lui donner une peluche ou un objet sur lequel il va s’exciter, cette gentille intention peut réveiller son instinct sexuel et le métamorphoser du jour au lendemain de manière irréversible.
Si vous n’avez qu’une lapine la stérilisation est fortement conseillée pour des raisons de santé.
La stérilisation rend le lapin malheureux? C’est FAUX. Elle contribue à son bien être psychologique, après cette intervention le lapin est détendu et peut enfin se consacrer à autre chose qu’à grimper sur tout ce qui bouge, il profite de la vie (margueritecie.com).

 

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Une femelle soapberry unique est une perle rare, et le mâle va à l’extrême pour verrouiller son ami spécial de dame. Lors de l’accouplement, les insectes soapberry ressemblent jumeaux connectés à l’arrière – et ils peuvent rester pendant jusqu’à 11 jours. Bien que la connexion physique peut sembler romantique, comme un équivalent insectes de se tenir la main, cela est effectivement une forme de gardiennage compagnon. En prolongeant la copulation, les organes génitaux de l’Guarder agissent comme un bouchon qui empêche les autres hommes de l’insémination cette femelle. Dans certains cas, accouplés bogues soapberry sont collées ensemble jusqu’à ce qu’il est temps pour la femelle pour pondre ses œufs. Le mâle jaloux se retirer temporairement ses parties génitales de la sienne, mais il est jamais loin de son côté. Recopulation peut commencer dès qu’elle commence à couvrir les oeufs avec le sol. Certains gars sont juste le type collant. (Time, traduction automatique Google)

 

 

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Dès que Crews entreprit ses travaux sur le Cnemidophorus, il remarqua ce qui, à première vue, était un comportement bizarre. Ces lézards sans vie sexuelle -puisqu’ils n’ont pas besoin de s’accoupler pour se reproduire- couvrent parfois leurs congénères tout comme le font d’autres lézards au comportement sexuel normal.
La séquence paraît relativement simple. Une femelle joue un rôle actif et monte sur le dos d’une femelle passive, recourbe sa queue autour du corps de sa partenaire de sorte que leurs organes sexuels entrent en contact, donne des secousses du cou et du dos et chevauche ainsi sa compagne pendant une à cinq minutes.

 

 

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L’écureuil :

Les changements physiologiques que l’on observe chez le mâle sont la descente des testicules de l’abdomen vers le scrotum. Les testicules deviennent évidents et atteignent une longueur d’environ 3,5 cm. En outre, il siffle assidûment pour appeler les femelles.

Chez la femelle, la vulve grossit et devient oedémateuse. Les deux se montrent plus actifs et plus agités. L’accouplement obéit à un véritable rituel. La femelle s’enfuit en émettant des petites quantités d’urine et le mâle la suit. L’accouplement en lui-même ne dure que quelques minutes. Si la femelle n’a pas été fécondée, le rituel se répète deux semaines plus tard. Une fois fécondée, elle n’accepte plus le mâle et se montre agressive. Les tentatives peuvent être nombreuses. (wamiz.com)

 

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La position union de l’aigle et ses variantes sont des positions sexuelles. Les partenaires sont couchés sur le côté et face à face. Dans la version « standard » la femme écarte ses jambes en les passant autour des jambes de l’homme ou autour de sa taille. L’homme quant à lui peut relever légèrement ses jambes pour effectuer le mouvement. (wikipedia)

 

 

 

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Le bouc :

L’immobilisation posturale de la femelle constitue le signal visuel d’identification de l’état d’œstrus par le mâle expérimenté. Elle semble être renforcée par la reconnaissance olfactive, qui joue le rôle de «déclencheur» pour le comportement sexuel mâle. Un mâle inexpérimenté est beaucoup moins apte à identifier «l’état d’œstrus» de la femelle et doit apprendre ces signaux.

Lorsque le contact est établi, l’immobilisation posturale de la femelle est le signal de la poursuite de la séquence d’accouplement. Sa fuite, au contraire, signifie que la femelle n’est pas en œstrus.

 

 

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