Paysage marin occulté par une palissade

 

 

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– Bonsoir à vous tous, voici une nouvelle photo qui ne demande que vos critiques

– Un beau paysage caché par des persiennes … Point de vue original mais on reste sur notre faim.

– Idem, on ne sent pas l’intérêt, qu’il soit narratif ou pour la composition.

– en effet, pas trop fan non plus, le jeu avec les persiennes n’est pas franc, tu n’as pas fait un choix délibéré de cadrage, en les incluant de manière précise..
après tout, pourquoi pas? une image a la volée..telle que tu voyais la scene…mais pour moi a distance, ca ne fonctionne pas.. ciao

– Merci pour vos critiques, je pense en effet que c’est un bon souvenir pour moi, mais que la photo ne parle pas pour le spectateur. Bonne journée et à bientôt.

 

 

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3 réflexions sur « Paysage marin occulté par une palissade »

  1. Il y a un artiste dont je m’obstine à oublier le nom qui écrit des trucs à la craie sur un tableau noir.
    A Quimper il avait fait une enseigne pour une « Crêperie post-moderne » et marqué dessous. « Ici pas de crêpe! »

    Ps. P…Le calcul se complique!

  2. La matière ne peut exister que conjointement à l’anti-matière. Bizarrement, les textes qui accompagnent mes photos ne semblent pas leur donner un supplément d’existence pour d’autres personnes que moi-même…
    Pour ce qui est des calculs à effectuer pour mériter l’accès, les progrès de l’intelligence artificielle et de la reconnaissance de forme font que les robots sont de plus malins, et que donc les tests pour les éviter ne pourront bientôt être réussis que par les robots eux-mêmes.

  3. Dans le film de Claire Simon « Le Bois dont les rêves sont faits » un homme vient peindre dans la nature, sans la nature…
    Voulant montrer qu’il ne montre rien , l’auteur de cette photo montre cependant des piques, des piquets, des plantes qui piquent.
    Le paysage est sous bonne garde, non -identifiable. Mais ce n’était manifestement pas un point sublime.
    Juste un bon souvenir, une façon délicate de l’immortaliser – photo aérée, tonique – en le laissant dans les limbes de l’imagination.
    On pourrait aussi soupçonner sous les termes mesurés une critique acerbe de la photo-souvenir, définitivement mise hors-jeu de la représentation photographique.
    De quoi vous conforter dans une position d’amateur(e) résolue.

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