Ça y est ! Les vacanciers vont arriver, aller au supermarché, se presser autour de l’eau, trouver délicieuse l’infâme bouffe des restaurants de plage. L’été, quoi.

C’est ainsi que Jean Aicard chantait la Méditerranée, et il la connaissait :

La Méditerranée, ô rêve ! est donc la mer
D’où sortit Vénus blonde aux pieds blanchis d’écume,
Et comme la Beauté donne un bonheur amer,
Les flots bleus sont faits d’amertume.

On comprend tout de suite que ce Toulonnais a mal digéré les moules frites d’une gargote du quai de Cronstadt…

Heureusement, les Corsica Ferries permettent de rejoindre la Corse où les gens sont… ce qu’ils sont, mais où peut soigner son palais.

Tout ça pour dire que, malgré le succès incroyable de ce blog (en passant, je remercie l’ami(e) belge qui me permet, certains jours, d’avoir au moins une visite), je vais me prendre une petite quinzaine de jours de silence médiatique.

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