Avant les parpaings

 

blog19_8_15_DSC0382Rome – Pantheon

 

– Très bel endroit de par son histoire et son âge mais j’avoue avoir été tout de même déçue par rapport à celui de Paris. Un peu sombre et austère…
– Une chose sûre vous ne serez pas émerveillé mais si vous êtes à Rome c’est que ce genre de visite vous intéresse don allez le voir. Si au contraire vous faites une overdose de culturel évitez le détour.
– Visite à faire avec un guide et un minimum d’explication, car il n’y a as d’explication à l’intérieur. En revanche, la place devant le panthéon est très mignonne

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Les sacrifices sanglants sont un rituel complet qui doit être respecté à la lettre sous peine de nullité, le sacrifice doit être fait en silence, avec le moins d’assistance possible. Le visage couvert, le sacrifice se fait au son d’une flûte, il commence par des prières, on appelle les victimes qui sont de toutes sortes : colombe, volaille, mais aussi mouton, porc, bovin. Le type de victime dépend du dieu pour lequel le sacrifice est réalisé.
La victime doit être sans défaut, avant le sacrifice, on examine l’animal, c’est la probation. Il existe des conditions d’âge suivant les fêtes, animal adulte ou bidente, ou animal lactant. L’animal est préparé pour le sacrifice avec des rubans, des bandelettes, etc. Il ne doit pas résister. On répand du vin sur la tête de l’animal, qui est tué par un spécialiste avec une hache, une masse ou un couteau.
Une fois que l’animal est mort, il faut l’interroger mais ce n’est pas une obligation. S’il n’y a pas d’interrogation, on parle de sacrifice expiatoire, car on brûle directement l’animal. La plupart du temps, le sacrifice est consultatoire car on examine les entrailles de l’animal, on étudie les viscères comme les intestins, le cœur, les poumons ou le foie, qui est l’organe le plus important dans ce type d’examen. Ensuite on le fait cuire avec des biscuits salés, pendant cette cuisson, un deuxième examen est pratiqué, un troisième est réalisé après cuisson, on mélange ce qui a été cuit avec la queue et le cou de l’animal, du vin et des biscuits, on obtient une pâte.

 

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